press the first button. ma galerie.

galerie de coeur de plumes. que trouver en ce lieu... des écrits. que des écrits. aussi bien poèmes que nouvelles, vous lirez de tout. en revanche, pas de passages d'un roman, je n'aime pas en écrire. bien dés fois j'ai essayé mais j'ai finalement opté pour le court et le beau. avant de vous en faire voir plein les yeux, du moins je l'espère, laissez-moi vous rappeler que même si je ne suis pas sous copyright, je ne voudrai pas qu'on me copie, qu'on s'approprie mes créations. je ne supporterai pas et n'hésiterai pas à porter plainte si un jour j'ai le malheur de tomber sur un de mes écrits. je vous les fournirai d'ailleurs au fur et à mesure. toutefois, si vous trouvez que ce que je fais vous plais, essayez toujours de me passer commande, de me demander de me prendre en me créditant par mon pseudonyme quelque chose mais ayez la permission et la mienne uniquement avant d'agir.

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« pars. » ce mot résonnait lourdement dans les couloirs macabres de la demeure. son coeur était déchiré, sanglant. elle ne pouvait le quitter. deux années passées à s'embrasser publiquement dans les rues. deux ans à se retrouver dans des endroits magiques, secrets. deux longues années au côté de son âme soeur. lui pourtant si dur auparavant, les larmes coulaient de ses joues. la main de sa bien-aimée les estompait, le caressant une ultime fois avant de tourner les talons pour lui ouvrir la porte. « si tu savais. » savoir quoi ? qu'elle regrette ? mais c'est trop tard, le mal est fait. un mal irréparable. celui qui vous tue, vous hante chaque jour et vous fait pleurer sans arrêt, vous faisant tomber dans la dépression. toutefois, elle avait raison, il ne savait pas. elle ne pouvait dire la vérité. pourquoi la vie est-elle si injuste ? il partit et entendit la porte claquer. derrière, elle s'en voulait comme il l'avait si bien pensé. tous deux, sans le savoir et au même instant, effacèrent les numéros. « cassie. » « dave. » les moments de bonheur appartenaient au passé. le présent n'était plus que souffrance. dave, dans son lit, observait la dernière photographie de cassie qu'il lui restait. tandis qu'elle, penchait pour une promenade nocturne. le temps s'écoulait tel une plume tombant de son arbre. mais cassie ne voulait plus de cette obsession, cet instinct sauvage envers lui. elle savait pertinemment que le sang de dave était le meilleur. il ne fallait pas le tuer, la plaie serait alors bien trop grosse. ne contrôlant plus ses pas, elle se trouva face à l'immeuble du jeune homme. mais pourquoi ? sans plus tarder elle rebroussa chemin mais il la regardait, cette créature dorée au ciel noir. il ouvrit sa fenêtre mais elle s'exclama aussitôt. « désolée. » l'espoir de l'avoir à ses côtés s'évacua. il rabattit les volets pour essayer de fermer les paupières. il se faisait tard et le sommeil était un besoin vital. mais dave ne le trouva pas. il décida alors de décrocher une veste de son placard et de lui enlever une paire de chaussures afin de les enfiler et d'aller prendre l'air. une fontaine attira son esprit au bout de quelques minutes de marche. cette fontaine dont tout le monde parlent. mais qu'avait-elle d'extraordinaire ? « fontaine du désespoir je t'appellerai. » il s'assit sur son rebord apercevant, en se penchant d'un côté, une silhouette bien emmitouflée. cassie. ces étranges lieux de retrouvailles ne les rassuraient guère. elle s'approcha de lui pour tenter de prendre sa main. en vain. mais il finit toutefois par la lui tendre. avant qu'elle ne prenne la parole, il demanda timidement. « pourquoi ? »

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toi qui les enflammes tous deux,
les amants prodigieux,
eux surnommés les dieux chanteurs,
qui font battre les coeurs.

toi qui t'assembles à la foule,
vous n'éclairez guère,
car les seuls lumières,
ne sont autres que leur soul.

âmes illuminées,
grâce à tous ces baisers,
mêlés à une unique passion,
qu'est la chanson.

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maintenant, je vous laisse poster vos commentaires.

ajout du deux février deux-mille dix ; poèmes « lumières ».

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merci du compliment. je compte en rajouter mais là, je ne sais pas quoi pour vous épater. si non, y a t-il quelque chose à améliorer ? ne te gêne pas, je te demande alors profite-en. j'ai besoin de savoir ce qui ne va pas, car je sais qu'il y a des trucs, pour ne pas refaire les mêmes erreurs.